A cette occasion, la ministre a pu échanger avec les collaborateurs de l’entreprise Coca-Cola, qui participe avec une dizaine d’organisations pilotes à l’expérimentation de l’Index diversité et inclusion, lancée le 17 novembre dernier avec les ministres du Travail et de la Fonction publique. « La diversité et l’inclusion sont dans l’ADN de Coca-Cola. C’est une question de cohésion sociale et de performance », a assuré Elisabeth Moreno. Le Gouvernement considère en effet que les politiques de diversité et d’inclusion sont des facteurs de performance et d’attractivité pour les entreprises. Elles sont également « des facteurs de cohésion sociale, contribuant à rendre concrète et effective la promesse républicaine d’égalité des chances sur tous les territoires ».
Élisabeth Moreno a salué la politique « volontariste » de cet acteur privé en la matière, particulièrement au sein de ce site qui emploie de nombreux jeunes issus des quartiers prioritaires de la ville et notamment de la Grande Borne. « Nous ne pouvons pas imaginer mener notre activité avec des équipes qui ne seraient pas le reflet de la société », a expliqué François Gay-Bellile, PDG de Coca-Cola EP France.
La ministre s’est ensuite rendue à la mission locale du Val d’Orge pour mettre en lumière le dispositif du contrat d’engagement jeune. Ce dernier propose un accompagnement personnalisé aux jeunes de moins de 26 ans sans emploi ni formation. Il mobilise l’ensemble des acteurs de l’emploi (pouvoirs publics, collectivités, entreprises et associations), dans l’objectif de favoriser l’égalité des chances.